Sachez que la scène est à la hauteur de la promesse. Ce chipmunk, ou tamia, un petit rongeur de la famille des écureuils vivant essentiellement en Amérique du Nord, saura vous tirer un « ohhh » de tendresse à tous les coups.
L’animal se roule en effet dans les draps, s’y frotte le nez et le ventre, en parsemant cette chorégraphie attendrissante de bâillements. Pas facile de résister à une minute et demi d’une telle démonstration de mignonerie.
À l’inverse, le caméraman semble n’avoir pas pu se décrocher des manies du chipmunk. Les différents plans entrecoupés laissent à penser que le film original excède bien plus que la durée finale. Des heures de vidéo peut-être, fixé sur cette petite boule de poil ? Une initiative cohérente devant le potentiel de l’acteur principal.
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